SOS Parc Orford prend congé pour l'été mais reviendra

SOS Parc Orford prend congé pour l'été, mais devrait revenir à la fin de la belle saison. On peut s'attendre à ce que le dossier se retrouve devant les tribunaux d'ici la fin de l'année. Lire l'article sur radio-canada.ca.

Pas d'antenne sur le Pinacle:La Voix de l'Est confirme la nouvelle

Un article dans La Voix de l'Est du 18 mars vient confirmer que le projet d'antenne sur le Pinacle est définitivement abandonné par les responsables du projet RENIR. L'article est disponible sur le Web à cette adresse, mais pour quelques jours seulement. Une copie image, permanente celle-là, est disponible ici.

Réponse réjouissante du Conseil du Trésor à la MRC

La MRC m'a confirmé qu'un représentant du Conseil du Trésor a révélé au préfet, lors d'un entretien téléphonique, que le projet d'installation d'une antenne sur le Pinacle était abandonné. Le RENIR utilisera plutôt une ou des antennes déja existantes dans la région afin d'atteindre les résultats escomptés sans modifier le schéma d'aménagement. Espérons que la bonne nouvelle sera confirmée par écrit sous peu et que les actions rejoindront bel et bien les paroles.

En favorisant le partage des installations existantes (on dénombre déjà non pas 8 mais 11 antennes dans la région, a-t-on découvert en fouillant davantage), cette conclusion heureuse sera un bel exemple de protection éclairée du patrimoine naturel et du paysage, tout en répondant aux besoins évolutifs du milieu. Rappelons que la MRC Brome-Missisquoi s'est positionnée il y a quelques années à l'avant-garde des communautés concrètement engagées dans la protection du cadre de vie de leurs résidents, en incluant à son schéma directeur d'aménagement la désignation «Récréation» qui interdit formellement la construction de réseaux majeurs tels que les antennes de télécommunication et de câblodistribution.

Espérons que les décideurs de la MRC - et des différents palliers de gouvernements - sauront continuer à respecter les souhaits profonds de ses résidents quant à leurs choix de milieu de vie.

Enfouissement des câbles et interdiction des pylônes : même combat?

N'est-il pas ironique d'apprendre que le Gouvernement du Québec, sous la direction du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, va investir 4 millions de dollars pour enfouir les câbles dans deux sites patrimoniaux et touristiques de la Montérégie, alors que ce même gouvernement prévoit ériger un pylône de télécommunications sur un joyau naturel qu'est le mont Pinacle? Permettez-moi de reproduire ici une citation du ministre responsable, tiré du communiqué de presse daté du 24 février 2005:

"Il s'agit en somme de libérer le paysage des structures portantes et des câbles afin de permettre aux collectivités locales de bénéficier de toute la splendeur de ces sites et, en bout de ligne, des retombées touristiques et économiques qui en découlent."

Quand le ministre parle de "structure portante", il pense sûrement à des bons vieux poteaux de téléphone. Mais un seul pylône sur une montagne n'a-t-il pas plus d'impact que quelques poteaux au centre d'une ville ou d'un village? Alors pourquoi permettre d'un bord ce qu'on enterre de l'autre?

"Le Programme gouvernemental d'enfouissement des réseaux câblés de distribution traduit notre volonté d'assurer la pérennité et la mise en valeur du caractère patrimonial, culturel et touristique de certains sites de notre territoire. Nous voulons que la beauté de certains lieux profite aux gens de la région, mais aussi, aux gens d'ailleurs, qui viennent de plus en plus nombreux visiter cette belle région"

C'est exactement ce que nous demandons pour Frelighsburg. Si on peut enfouir des "structures portantes et des câbles", il est certainement possible d'ériger des pylônes de télécommunications comportant un impact visuel mitigé.
Petite suggestion : il serait peut-être temps que les gens du ministère des Ressources naturelles parlent aux gens du Conseil du Trésor, qui sont responsables du projet d'érection d'un pylône de télécommunications sur le Pinacle

Une simulation visuelle qui vaut mille mots...

Eden Muir, un résident de Frelighsburg, s'est amusé à créer une simulation visuelle d'un pylône qui serait installé sur le Petit Pinacle:

Avant


Après

source: Eden Greg Muir

C'est un peu dramatique, mais ça donne une idée... Vous trouverez ces images avec leur explication, ainsi que d'autres informations très intéressantes compilées par Monsieur Muir sur cette page.

Le maire de Frelighsburg répond aux critiques: le sommet n'est pas exclu

Dans le journal Le Guide du 18 décembre dernier, le maire de Frelighsburg, Monsieur Rhéal Raymond, a enfin fait sa première déclaration publique en répondant aux critiques du projet de pylône de télécommunications sur le Pinacle. Dans sa lettre, il affirme "qu'il n'est pas question de coiffer le mont Pinacle d'un beau grand pylône de télécommunications." Du même souffle, il écrit que "le site n'est pas encore choisi et si un des flancs de la montagne offre des possibilités intéressantes, il est hors de question d'utiliser le sommet du mont Pinacle." Si nous interprétons bien les paroles du maire, le sommet du Pinacle, et encore moins celui du "Petit Pinacle" (aussi important selon nous), ne sont donc pas exclus comme sites éventuels.

Pour justifier l'appui inconditionnel du conseil au projet, le maire Raymond s'inquiète du fait que Frelighsburg devienne "le maillon faible qui ferait briser la chaîne", faisant référence au réseau de 32 sites de la phase I du projet RENIR, qui comprendra éventuellement 98 autres sites en phase II.
Les citoyens de Frelighsburg seront peut-être rassurés d'apprendre que "ce projet n'entraînera aucun déboursé pour les contribuables de la municipalité". Dans un dernier élan d'ouverture, le maire nous fait savoir que le "conseil municipal de Frelighsburg est ouvert à toute proposition concrète visant à trouver un compromis destiné à diminuer la visibilité d'une antenne sans toutefois en modifier son efficacité." N'est il pas étrange que le maire s'inquiète à ce point de l'efficacité d'un pylône de télécommunications, au détriment du paysage unique qui nous entoure? Ne devrait-il pas plutôt s'occuper de l'impact d'un tel projet sur l'environnement de sa municipalité et laisser plutôt les ingénieurs du ministère s'inquiéter de l'efficacité de leur équipement?

Réunion de la MRC : résultat positif!

À la réunion du comité d’aménagement de la MRC Brome-Missisquoi qui se tenait hier, les membres du comité ont renvoyé les ingénieurs du projet RENIR à leur planche à dessin parce qu'ils n'ont pas tenu compte des antennes déjà existantes dans la région. Selon nos sources, Michel Beauchesne qui préside ce comité mentionnait qu'en plus de l'antenne de la GRC à Frelighsburg, il y aurait 6 à 8 nouvelles antennes dans les environs : Sutton, Glen Sutton, Farnham, Bolton etc. Pourquoi le RENIR ne favoriserait-il pas l'utilisation des antennes déjà en place?

La balle est maintenant dans le camp du Conseil du Trésor. Nous continuons à suivre le développement du dossier de très près. La partie n'est pas gagnée. Merci pour votre soutien.

Un dossier récent sur l'importance du paysage

Le dossier Paysage/Dépaysage de Gilles Jobidon, sur le site du Conseil montérégien de la culture et des communications, fait le tour des enjeux souvent encore ignorés liés à l'importance du paysage dans nos contrées. Une phrase a particulièrement attiré mon attention:

...plusieurs élus constatent que même si elle a un prix, la beauté provenant d’une intégration planifiée est payante en termes de retombées économiques, touristiques et culturelles.

C'est à lire avec plaisir.

Enquête sur la perception des paysages de Brome-Missisquoi

Le Groupe de Réflexion et d'action sur les Paysages et le Patrimoine (GRAPP) vient tout juste de rendre disponible les résultats de son enquête réalisée dans le cadre du projet de Charte de Paysage régionale supporté par le Pacte Rural. Cette étude confirme, si besoin était, l'importance du patrimoine paysager pour les résidents et visiteurs de la région, ainsi que la place prépondérante qu'occupent, au sein de ce patrimoine, les montagnes en général, et le Mont Pinacle en particulier.

• Les paysages jouent un rôle très important (76% des répondants) ou important (14% des répondants) dans l'intérêt que les gens éprouvent pour la région.
• Pour plus des trois quarts des répondants, l'identité paysagère de la région repose d'abord sur la présence des montagnes et des milieux sauvages. Quand des montagnes sont spécifiquement citées, il s'agit à part égales du massif des monts Sutton (ou du Round-Top) ou du Mont Pinacle, avec quelques mentions du mont Écho et du mont Glen.
• Pour plus de neuf personnes sur dix, la priorité en matière de protection des paysages, devrait être mise sur la conservation du patrimoine naturel.

Comme le mentionne la présidente du GRAPP, Catherine Zellweger, «c'est parce qu'elle reconnaît depuis des années l'importance de ses paysages sur le plan de la qualité de vie et des potentiels de développement de ses résidents que la MRC de Brome-Missisquoi a inclus à son schéma directeur d'aménagement la clause interdisant formellement des projets tels que celui qui nous inquiète présentement.

Par ce geste aussi courageux que controversé, la MRC se positionnait à l'avant-garde des communautés concrètement engagées dans la protection du cadre de vie de leurs résidents, et nous ne saurions trop l'en féliciter. Il serait donc regrettable qu'elle recule à la première occasion, ruinant du même coup sa crédibilité en matière de gestion des paysages, et ce, un mois à peine après que la plus haute cour du pays ait formellement reconnu à la municipalité de Frelighsbur le droit de protéger le Mont Pinacle de développements inappropriés.»

Espérons que les décideurs de la MRC sauront entendre et respecter les souhaits profonds de ses résidents quant à leurs choix de milieu de vie.

Appel à l’action : faites entendre votre mécontentement

Plusieurs organismes et citoyens de la région ont manifesté leur vive opposition au projet auprès de la MRC et des élus des divers paliers. Ils demandent que soient étudiées des solutions alternatives plutôt que de modifier le schéma d'aménagement (par exemple envisager un autre emplacement, partager l'utilisation des antennes déjà existantes que l'on dénombre à 7 dans la région immédiate).

Parmi ces opposants, mentionnons la Fiducie foncière Mont Pinacle, le Groupe de Réflexion et d'action sur les Paysages et le Patrimoine (GRAPP), l'ACA, Conservation de la nature, l'Association du patrimoine de Potton, le Parc d'Environnement naturel de Sutton (PENS), ainsi que plusieurs citoyens et citoyennes, francophones et anglophones, de la MRC (Frelighsburg, Sutton, Dunham, Abercorn, Brigham, etc.). Nous vous encourageons à écrire vous aussi une lettre à nos élus pour faire entendre votre voix sur cette question qui nous concerne tous. Vous trouverez ici les adresses complètes du Comité consultatif d'aménagement de la MRC, des députés et des maires des différentes municipalités de la région. Rappelons que la réunion (inaccessible au public) pour décider de la position de la MRC aura lieu ce 14 décembre. Faites vite!

Le projet d'antenne fait la Une de la Voix de l'Est

Le 9 décembre dernier, le quotidien Granbyen La Voix de l'Est a consacré sa Une au projet de tour de télécommunications sur le mont Pinacle. Dans l'article signé par le journaliste Pascal Faucher, on apprend que "l'idée obtient déjà l'appui du préfet de la MRC Brome-Missisquoi, Arthur Fauteux". Le préfet Fauteux, qui est aussi maire de Cowansville, a déclaré : "entre installer une grosse antenne ou avoir des communications de sécurité publique déficientes, je préfère l'antenne". Par contre, il est prêt à envisager "... autre chose, une antenne plus petite par exemple." Voilà qui est rassurant!

Le maire de Sutton, Winston Bresee, qui sera présent à la rencontre du comité d'aménagement de la MRC du 14 décembre prochain, tient des propos plus nuancés : "Je ne suis pas en faveur de ce projet. C'est impensable que le gouvernement veuille faire ça. Le mont Pinacle fait partie de notre patrimoine. Je suis convaincu que nous pourrons trouver une autre solution. Il y en a toujours."

Hélène Leduc, présidente de la Fiducie foncière du Mont Pinacle, identifie le véritable enjeu de ce projet : "Si la MRC accepte une modification de zonage à cet endroit, qu'est-ce que ce sera plus tard? [...] Il pourrait facilement y avoir d'autres antennes ou encore d'autres projets."

Le maire de Frelighsburg, Monsieur Rhéal Raymond brillait par son absence dans cet article, n'ayant pu être rejoint par le journaliste. Il aurait été très intéressant de savoir pourquoi le conseil municipal qu'il préside a approuvé le projet si rapidement le 1er novembre dernier...

Malheureusement, il est impossible de fournir un lien vers l'article complet, car la Voix de l'Est ne donne toujours pas accès gratuitement à ses archives en ligne.

Pas de paix pour le Pinacle, en effet...

Le journal le Guide, de Cowansville, publie une lettre ouverte de Patricia Lefèvre du Groupe de réflexion et d'action sur les paysages (GRAPP) dans son édition du 4 décembre. Intitulée très aptement "Pas de paix pour le Pinacle!", sa lettre met en lumière que "l'actuel schéma directeur d'aménagement de la MRC de Brome-Missiquoi interdit théoriquement l'érection de telles structures" (ces tructures étant bien sûr des pylônes de télécommunications.) Le 14 décembre prochain, une réunion (inaccessible au public) aura lieu pour décider de la position de la MRC. Histoire à suivre.

Processus en cours - de la Municipalité à la MRC

Le 1er novembre dernier, la Municipalité de Frelighsburg a voté une résolution (Page 1 - Page 2) qui «demande à la MRC de Brome-Missisquoi d'accueillir une demande de modification au schéma d'aménagement dans le secteur du Mont Pinacle en vue de l'installation d'un pylône de télécommunications». Le 16 novembre, cette résolution est à l'ordre du jour de la réunion de la MRC. Des citoyens sont présents, posent des questions et manifestent leur désaccord. La demande a été officiellement déférée au Comité consultatif de l'aménagement, dont font partie un certain nombre de maires, pour étude. Il y aura une consultation publique si le comité en recommande l'acceptation, avant de revenir devant le conseil de la MRC qui a le pouvoir de décision. Ce conseil est composé de l'ensemble des maires des municipalités membres de la MRC.
Nous suivons le dossier et vous tiendrons au courant de la suite.

Une liste de signets

Si vous désirez consulter ma liste de signets sur le sujet des tours de téléphonie, allez faire un tour sur http://del.icio.us/jfpetit/antenne. Attention: c'est une liste en vrac et en évolution. En passant, del.icio.us est un merveilleux service qui permet de créer, de classer et de partager des signets. C'est un service que je trouve de plus en plus indispensable. De plus, il est gratuit, tout comme le service d'hébergement de cette page.

Réseau national intégré de radiocommunication (RENIR)

J'y vais d'une première contribution en vous communiquant une information de base sur le contexte du projet de tour de téléphonie sur le mont Pinacle. La Direction générale des télécommunications (DGT), unité administrative du Secrétariat du Conseil du trésor, procède actuellement à la mise en place d'un véritable réseau pan-québécois : le projet du Réseau national intégré de radiocommunication (RENIR).

«Ce projet a pour but de mieux desservir la population en cas de sinistres ou de situations d'urgence sur le territoire du Québec et deuxièmement, de fournir à la clientèle actuelle et future du réseau, un système de radiocommunication performant. [...] La mise en place du réseau, en deux phases successives, a débuté en août 2002 et se poursuivra jusqu'à la fin de l'année 2006. [...] Graduellement, le RENIR pourra accueillir les ministères et les organismes du gouvernement, la Sûreté du Québec, certaines municipalités, des services préhospitaliers d'urgence (ambulances) et Hydro Québec.»

La charte du paysage québécois

Si on réfléchit à l'impact qu'aurait la construction (encore hypothétique, bien sûr) d'une tour de téléphonie cellulaire sur une belle montagne comme le mont Pinacle, la destruction du paysage vient sûrement en tête de liste. Mais pourquoi diable devrait-on se passer d'un merveilleux progrès technologique dans le but de simplement conserver une "belle vue"? C'est sûrement ce que des centaines de promoteurs immobiliers, d'ingénieurs et de constructeurs de tout acabit se posent comme question à tous les jours. Comment exprimer de façon rationnelle ce qui nous semble souvent être un sentiment ou une passion difficilement traduisibles en des termes que notre société marchande pourrait comprendre et accepter? Ce grand questionnement m'a amené à découvrir la Charte des paysages québécois, préparé par le Conseil du paysage québécois. Elle contient quatre points majeurs:

• Le paysage est à la fois le résultat et la reconnaissance des occupations successives du territoire.
• Le paysage est source de création et d’expression.
• Le paysage évolue constamment et à des échelles diverses.
• Le paysage est d’intérêt public, de responsabilité individuelle et collective.

Je vous invite à prendre quelques minutes pour lire le document complet. Je trouve que c'est un excellent point de départ pour vous sentir un peu moins seul la prochaine fois que vous serez parcouru par un frisson à la vue de votre paysage favori...

Tour de téléphonie - la suite...

En fouillant encore plus sur le Web (merci Google!), il semble bien que la construction de tours de téléphonie cellulaire (TTC) soit un véritable fléau chez nos voisins du sud, et que de nombreux citoyens et administrations municipales tentent d'encadrer ces activités de développement. Au Canada, il semble que la situation se développe dans le même sens, car le ministère fédéral qui règlemente la mise en place de pylônes (Industrie Canada) a procédé à un examen de la loi durant l'automne 2003. Les résultats sont accessibles ici.
Parmi les mémoires reçus, celui de la coalition Ciel noir et environnement visuel Laurentides (CNEL) reflète des préoccupations assez semblables à celles de notre région. Parmi les quelques 70 mémoires reçus lors de l'examen de la loi, il semble être le seul provenant d'un groupe du Québec!

Une tour de téléphonie cellulaire sur le mont Pinacle?

Je viens d'apprendre qu'il y aurait un projet assez avancé de construction tour de téléphonie cellulaire sur le Mont Pinacle ou sur le Petit Pinacle. Sans vouloir "partir en peur", je crois que la vigilance est de mise en attendant d'en savoir plus.

Ma curiosité naturelle m'a poussé à faire quelques petites recherches dans Google sur ce sujet et je suis tombé sur cet article (en anglais) qui décrit comment procèdent nos voisins du Vermont dans des cas semblables. On y décrit en grand détail comment les promoteurs de ces projets (des entreprises de télécommunication, qu'on appelle "carriers" dans l'article) procèdent pour obtenir l'aval de la population locale dans le respect du "Act 250", une loi de protection environnementale.

Voici un petit extrait:

Even with Act 250's extensive requirements, RCC has developed its network successfully; the carrier has 57 sites in the state and never has been denied an Act 250 application. Key to that success has been the carrier's willingness to work with Act 250, not fight the legislation. That means having lawyers work with engineering and network-operations staffs from the beginning, not just when something goes wrong, Kohler said. Early cooperation of all teams allows the carrier to rule out problematic site prospects.

Le déclencheur de cet espace sur le Web

Le 1er novembre dernier, le conseil municipal de Frelighsburg a voté une résolution (Page 1 - Page 2) pour permettre une modification de zonage afin de permettre la construction d'un pylône de télécommunications sur un terrain privé situé sur le mont Pinacle. Cette demande à la municipalité a été faite dans le cadre du projet du Réseau national intégré de radiocommunication (RENIR) du Gouvernement du Québec. Ce programme relève de la Direction générale des télécommunications (DGT), unité administrative du Secrétariat du Conseil du trésor.
Toutefois, toute demande d'installation d'équipements de radiocommunications (pylônes, transmetteurs, emprises, chemins d'accès, etc.) doit suivre des règles établies par Industrie Canada, car les télécommunications sont sous juridiction fédérale. Ces règles prévoient un processus de consultation auprès des divers intervenants (citoyens, autorités locales et provinciales, groupe d'intérêt, etc.) C'est dans le but de préparer cette consultation que nous avons décidé de mettre sur pied cet espace Web. Il agira à titre de dépositaire central d'information et éventuellement de point de rencontre virtuel.

Pour en savoir plus:

Copie de la résolution du conseil municipal de Frelighsburg
(Page 1 - Page 2)

Réseau national intégré de radiocommunication (RENIR) - Conseil du trésor
http://www.tresor.gouv.qc.ca/fr/communaute/telecommunication/renir.asp

Parlons Pylône - Industrie Canada
http://strategis.ic.gc.ca/epic/internet/insmt-gst.nsf/fr/sf01637f.html

Bâtis d'antennes - Industrie Canada
http://strategis.ic.gc.ca/epic/internet/insmt-gst.nsf/fr/h_sf01702f.html

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